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dimanche 15 mars 2009

12=>15/03 – Safari les oiseaux et ça fait chanter les abeilles (enfin, les mouches)... (1ere partie)

12=>15/03 – Safari les oiseaux et ça fait chanter les abeilles (enfin, les mouches)... (1ere partie)
12/03 – On prend les mêmes et on recommence...
Arrivé à la gare d'Alice Springs, je dois gérer : pas d'hôtel, pas de séjour prévu, pas d'internet pour poster le blog (j'ai juste eu le temps de glisser deux mots à Adelaïde pour expliquer mon silence sur le blog et ça semblait ne pas marcher), plus rien à manger (j'ai encombré les naseaux de mes voisins à grands coups de Parmesan), nécessité de prévenir Jane la CS de mon choix et rappeler Marion au vu de sa dernière phrase à l'aéroport...
Étape 1 : le logement, nous sommes jeudi et demain plusieurs départs pour les safaris Uluru, Kings Canyon, ... Une seule auberge me propose des places sans certitude. Devant le bus d’Haven, je retrouve un par un tous mes voisins du Ghan avec lesquels je n'ai pas réellement pris le temps de sympathiser. Bon, réponse 14 en attente : on verra ce qui va se passer, je grimpe dans la navette.
A sa descente, avant d'aller à l'accueil, précipitation vers le bureau des réservations ; la fille au regard de flipper (un œil qui joue, l’autre compte les points) va essayer de me gérer un safari malgré les multiples demandes dues au week-end. A priori tout est complet.
Mieux vaut prévoir demain que d'assurer un lit confortable pour cette nuit.
Au pire, je dors où je tombe (stages d'entrainement moultes fois suivis aux Vieilles Charrettes...). A l'accueil, un désistement de dernière minute me permet après vérification d'avoir une place en dortoir.
Etape 2 : parce que j'ai commencé par m'en inquiéter à la descente du bus, safari trouvé à la dernière seconde, plusieurs groupes partent à 6.10 am du fait du week-end, j'obtiens la toute dernière place libre des 4 groupes de 24... Autour, des jeunes énervés qui ont commencé par la chambre ne partiront que dans deux jours. Bordé de pâtes alimentaires, vous dîtes ?
Etape 3 : trouver Internet et à manger, Marion bosse, elle ne s'impatientera pas. Alice Springs, en ce sens, est une douce blague de guide. Il est 5.30 pm, tout est fermé et surtout, la ville se concentre dans un centre commercial pourri où des aborigènes très très noirs et faisant très très peur siègent en petits groupes et apostrophent, à moitié défoncés, les touristes au sourire crispé.
Maladroit, j'entends 2 françaises et, au cas où, me décide étonnamment à leur parler... Erreur “humoristique”, à la troisième phrase lors de la traditionnelle question : “ d'où venez-vous ?” et sa triste réponse “Paris”, j'enchaîne sur un “Ha ? Désolé” de circonstance mais coupant court à la conversation. Pô grave. Ça veut bien dire qu'elles n'ont pas d'humour, non ?
Salade, melon, jambon de parme, nectarine (ça me rappelle l'avant- veille) puis lait de soja au chocolat et quelques biscuits. Internet, je fais une croix, all is closed.
Etape 4 : Retour à l'hôtel, achat d'une carte, un computer est libre, je peux - enfin – balancer mes presque 10 pages de mémoire vivante issues du Ghan sans prendre de gants. Plus les photos. Deux heures seront nécessaires, “quand même !!”. Mais bon fallait nourrir les brebis... Et puis ça débarrasse et vous avez été tranquilles pendant quelques jours.
Ensuite, mail désolé à Jane, il fallait trancher entre le Dreamtime physique matérialisé par Uluru ou son parallèle “spirit”, incarnés par les aborigènes. Quelle que soit la qualité de l'accueil probable, je m'évite la frustration du manque d'images. Nés pour m'épater, l'Ayers Rock et Midnight Oil priment sur les nez épatés des autochtones en prime....
Voulant ensuite appeler Moumoune, je réalise le décalage horaire (il est 11 pm à Sydney) et la perte (vol ?) de ma carte (record battu, je l'ai gardée 12 jours -Douuuuze !). Tant pis, tout est fermé. La waiting girl devra se contenter des mails pour l'instant...
Le hasard et mes jambes me déposent à la table des 2 françaises, je rattrape le “Désolé”. Caroline et Noémie sont bien de Paris, ne restent que 14 jours en Australie (une copine à Melbourne), et ne sont pas méchantes, bien que je sois obligé de lancer chaque sujet de conversation... Sympas ? Pas sûr, on verra là aussi.
Plusieurs groupes partant demain à 6.10, la loterie humaine décidera des futurs nouveaux amis. Quelques têtes sont maintenant connues au gré d'échanges hasardeux dans l'auberge : mon ex-voisine taïwanaise, les deux allemands de devant (la fille, d'origine turque, portait un T-shirt chameau qui a détourné agréablement des paysages. et aurait pu dromadairiser le pantalon de Jemeleu..), mon joueur d'échecs rigolo, le joueur de Yukulélé, deux autres Français,... Tout le monde fera le même parcours mais pas au même prix, les deux (pas cousins) germains ont casqué 500 $ australiens… En majorité, c'est dans les 300. Pour ma part, j'ai obtenu les 3 jours de safari pour 310 $ et une nuit gratuite (20$) dans l'auberge à mon retour. Tant qu'à faire, j'ai déjà acheté le billet d'avion pour Darwin, lundi. Le bilan comptable de l'Australie tient déjà compte des “économies” réalisées à Sydney. En effet, j'aurais pu dormir dans un 5 étoiles et mangé au resto tous les jours, n'est-ce pas ?
A tout hasard, je m'ampute de quelques poils de barbe pour cesser de faire peur à tous ces bambins à peine stérilisés. A l'évidence, je ne suis pas le plus jeune... Cela faisait un moment que la sensation de Old Timer ne m'avait pas rattrapée, mais faut faire avec. Étonnant non ?
Triage des futurs amis demain, début d'une nouvelle page de souvenirs à créer... Réponse 14 version safari ?13/03 : Vendredi 13 ! Aïe aïe aïe ? Non, même pas peur, le psychopathe, c'est moi !
Question loterie, j'ai pas vraiment gagné me première-impresionne-je. Dans le groupe de 19 (+1 : Kanani, la japonaise nous rejoindra directement sur le site), je ne connais que le joueur d'échecs et l'indépendant virtuose, adepte du Yukulélé.
Au départ d''Alice Springs, impression amusante que cette micro-ville est barricadée contre le désert. Pour clarifier : en France, en quittant une ville, on pense sereinement sur la route goudronnée à la prochaine étape. A la porte de l'Outback, la sensation de “vous quittez la civilisation (sic!), vous ne reviendrez peut-être pas” est bien réelle. Voir les panneaux des villes dans “Lucky Luke”...
Au fond du bus à gauche, je me repose tranquillement, après quelques parties d'échecs (Simon siégeant devant moi) et récupère à la Einstein, comme d'hab'.
Petite parenthèse, si ma mémoire ne fourche pas, Einstein, le génie farfelu sans guitare et à la moustache de Brassens, prétendait que le corps pouvait récupérer la fatigue en quelques secondes. Testant son idée, il s'endormait alors une fourchette dans la main au-dessus d'une casserole. Au moment d'entamer le sommeil paradoxal, son corps se délassait, lâchait la fourchette qui tombait sur la casserole, provoquant son éveil quelques secondes après l'endormissement.
Pour résumer, des phases de sommeil très courts, dont j'essaie d'éprouver les bienfaits depuis le début du voyage.
Sur le long trajet (400 km), je tenterai à deux reprises d'appeler Marion-la-sûrement-triste-de-pas-avoir-de-mes-nouvelles, mais sans succès. La première carte tél. décédant cruellement sans fonctionner dans la machine, lors de la visite de la ferme d'élevage à dromadaires et autres bébêtes du coin.Arrivée à Uluru , la légende monolithique du centre australien.
Physiquement, L'Ayers Rock ne domine pas le Centre Rouge (le Mont Connor, “voisin” de 100 km, atteint les 863 m et s'impose tout autant), il ne fait “que” 348 m de haut pour 9,4 km de circonférence (quelques chiffres pour Burno) et est âgé de 600 millions d'années, mais son caractère sacré et son charisme sont palpables. Notamment au centre culturel, entre chants et images, on ressent le mythe du serpent arc-en-ciel, vénéré par les Aborigènes (qui obtiennent de plus en plus de droits sur “leurs terres”). La jurisprudence Mabo (juin 92) pourrait d'ailleurs réécrire l'histoire de la colonisation... Non, je ne recopierai pas, cherche toi-même, c'est intéressant.
Problème avec Uluru, ce n'est pas pour aujourd'hui. Nous ne visitons que le centre culturel où, déjà, toute photo est interdite. Au milieu des textes explicatifs, des photos, des animaux empaillés, des peintures locales (apparemment très cotées, surtout après la mort des artistes), le “sorry book” constitue le plus surprenant de ce centre. Comprenez un classeur spécial, recensant depuis 30 ans environ, différents courriers de personnes s'excusant auprès de la communauté aborigène (en leur nom ou pour leurs proches) d'avoir osé emporter un caillou “sacré” d'Uluru, le restituant pour l'occasion... Amazing !
Ensuite, arrivée sur le site voisin de Kata Tjuka, qui présente bien sur le prospectus, mais affiche fermé du fait des très hautes températures. Rapidement, nous prendrons quelques photos à travers les filets anti-mouches.Choueeeette ! Je peux enfin essayer le beau chapeau avec filet, offert par Yvette Jones (il est très beau mais, honnêtement, je m'en serais passé), du fait de ces caaalices de Christ de tabarnak en furie de mouches extrêmement virulentes et nombreuses, qui se posent sur (dans) la bouche, les yeux, les oreilles, ...
Où ont-elles étaient dressées ces pétasses ? Chez nous, elles ne sont pas aussi agressives. La France et ses mouches me manque !!! Non, je déconne.
Normalement ouvert et très beau, ce site présente une succession de roches rouges et arrondies au sommet de pics montagneux, s'élevant (c'est une manie) au-dessus de Uluru... Ces têtes seraient issues d'un même énorme monolithe que l'érosion a réduit en puzzle gigantesque pour géologues persévérants.
Au fil de la journée, je découvre les personnalités plutôt attachantes de mes compagnons de route du bus :
- Simon, English from Brighton, 27 ans, aime les échecs et vient de passer 4 mois en Australie, en travaillant en tant que Laveur de voitures. Très sympa et communicatif, il incarnerait parfaitement un “cartoon character”.
- Kevin, le Yukulélé germain de 20 ans, voyage seul depuis 6 mois de l'Asie vers les USA. Très solitaire et mature dans son attitude, il lui reste 6 mois à effectuer et s'avère finalement très intéressant.
- Ben, le barbu driver et guide, doit sûrement être sympa, mais je ne comprends vraiment qu'un mot sur 5 des contractions à l'australienne qu'il emploie à foison et dans le bus sur un ton inlassablement monocorde et chiant..
- Maurice et Carolien, hollandais de 24 ans, ils forment le couple charismatique dont tout le monde rêve... Beau gosse intelligent, drôle et vif, il s'est trouvé une sacrée compagne avec sa blonde bombe pulpeuse au sourire scotché, très communicante, elle aussi, et un rien déjantée : s'ennuyant de nous voir patauger dans la piscine alors qu'elle avait oublié son maillot ("Naaaon, mais c'est pô graaave, viens quand même !!"), elle s'est jetée à l'eau... Pas assez profonde (la piscine, roooo), pour aller la sauver.
- Lotfi, Français de 24 ans d'origine tunisienne. Pas vu dans le bus au départ, il a démissionné de la BNP pour apprendre à parler Anglais. Arrivé en Australie, il y a six mois, il ne baragouinait que “hello, I am Lofti” ; il a bien progressé et se montre ouvert, curieux, attentif et sympa.
- Natalie et Sandra, les twin sisters autrichiennes tatouées et piercées, marrantes et... différentes, autant dans leurs lignes de la main (j'ai vérifié par curiosité) que physiquement (la blonde travaillait en Australie et s'était rasée la tête, la Rousse vient de la rejoindre pour un voyage et la ramener au pays). Souriantes, elles développent des personnalités attachantes et originales
- David (le showman) et Hans (le réservé), 2 Hollandais de 18 ans, rigolos et en vadrouille depuis 7 mois.
- Samantha, Anglaise de 20 ans (qui ressemble à Julie ma coiffeuse bretonne) et sa copine irlandaise, Melissa, de 27 ans. Elles s'occupent de gamins dans le civil. Très isolées pendant 1 jour et demi, elles se révèlent marrantes et communicatives d’un seul coup, notamment dans une interprétation mémorable du “prince de Bel-Air”...
Ensuite il y a de manière un peu moins approfondie, Mary une jeune allemande de 19 ans et son aussi discrète copine anglaise, Laura, en plein “working holliday” qui se sont connues à Melbourne ; Kanani, la coiffeuse japonaise de 25 ans, assez réservée, elle a travaillé au Canada, aime voyager mais va devoir s'arrêter pour trouver un mari l'année prochaine (“Après, au Japon, elle serait incasable”) ; un autre couple assez renfermé, nous saurons qu'ils se prénomment Martin et Martina (faut le faire !) le dernier jour ; Lucas, un jeune érudit de 20 ans, étudiant allemand ; Karri, une Américaine de San Francisco qui cherche à être sympathique (la plus vieille après moi) et me colle un rien ; et Stephany, Allemande TRES timide, elle ne parle vraiment pas et doit certainement être sympa, vu qu'elle n'est pas belle... ;-).
Un groupe de jeunes et d'étudiants, quoi ... avec ses personnages et personnalités, ses différentes origines, sa jeunesse sauf moi, ses projets, ses voyages.
Une vraie pièce de théâtre et ses actes successifs, d'ailleurs. Avec ces différents temps, celui de l'ignorance nécessaire, celui de la communication naissante, celui de la complicité en développement sur des sujets divers comme le foot, le ciné, ..., un espace temporaire limité pour se découvrir (ou pas) et un décor mythique et aride, le rouge Outback australien. Le tout sous forme d'aventure un peu organisée. Voilà pour les présentations.Fort apprécié après la piscine et le coucher de soleil, le repas du soir (pâtes avec plein de légumes) descend plus vite que les sandwiches du midi. Avant de proposer un petit Jungle speed communautaire (avec rules in english à explain), je file phoner à Marion. Plusieurs tentatives seront nécessaires, je finis par l'avoir sur son portable et comprends pourquoi son fixe de boulot ne répondait pas : du fait de la crise (et peut-être d'une motivation visiblement en baisse), elle vient d'apprendre qu'elle avait deux mois pour quitter Accor, voire l'Australie...
Waouh ! Apparemment, elle le prend bien. S'étant donné au maxi jusqu'en début juillet pour trouver de bonnes raisons de rester sur ce continent avec son loyer dispendieux et ses Australiens bourrins, la toujours-positive Marion va optimiser cette redoutable situation en réajustant ses projets. Un peu choqué, j'ai l'impression d'être plus déçu qu'elle et n'arrive pas à baragouiner une sorte d'invitation à (re)partager quelques jours avec moi, en Corse, si ça la tente. Problèmes de phone à nouveau, on va se rappeler dimanche soir.
Une petite douche salvatrice, je retourne au camping, présente mon french game aux quelques volontaires, puis à 10.30 pm, tout le monde veut se coucher. Faut dire qu'ils ont compris que nous nous levions à 5h demain pour le rising sun, eux...
Sans trop de surprise, j'ai confirmation de ce que j'imaginais du “swag” australien : un matelas de sol enrobé dans une housse en plastique. C'est tout. La tente, ce sont les étoiles ; la lampe torche, la pleine lune ; la couverture, le sleeping bag. Après il te reste à espérer qu'il n'y ait pas de serpent (“ça n'arrive quasiment jamais...”), la pluie ou d'autres saloperies pour te perturber le sommeil.. Genre Lotfi et Simon qui ronflent paisiblement.De mon côté, évidemment, je ne dors pas pour diverses raisons :
- Einstein et son sommeil réparateur me suffisent depuis longtemps, je n'ai donc aucun lien avec Dormeur (vous vous souvenez des autres nains juste pour savoir ?)
- La nouvelle situation de ma donzelle australienne me chatouille l'esprit. De fait, je retourne lui laisser un message, afin qu'elle ajoute l'île de Beauté dans ces options futures... Surtout ne plus voiler un chemin quand le destin semble vouloir l'éclairer.
- La porte de la baraque en métal servant de cuisine grince.
- Après mon passage aux toilettes et la lecture d'une affiche dissuasive sur les Dingos (chiens sauvages australiens), le fait d'en voir un tenter de chaparder à manger dans nos malles à 7 m de moi et alors que ces potes hurlent dans le lointain, me tient éveillé.
Finalement, après une tentative de photo de nuit pleine-lunaire et un ultime passage aux toilettes, je réalise que si quelqu'un me croise à cette heure-là, (humain ou animal) avec ma coupe de cheveux actuelle (à côté, Jack Nicholson dans Shining, c'est Mickey Mouse), il partira en hurlant dans sa culotte : c'est moi, le psychopathe explosé, qui fait vraiment peur !!

5 commentaires:

Lena a dit…

Joyeux, Prof, Simplet, Grincheux, Timide Atchoum (et Dormeur donc)...
Dans mon école ils m'appellent Blanche Neige ! Tu y crois ??! Moi qui suis si mate...
Tes écrits sont toujours aussi délectables.
Bisous

kalamity2a a dit…

S à T Ô M I d'I J
Alors...peut être aurons nous le plaisir de connaître cette merveilleuse Marion?? Si elle vient en Corse, elle tombera amoureuse (à par de toi "oeuf corse") de ce merveilleux caillou de la Mediterranée, plus beau qu' Ayers Rock, non?
Les personnages de ta future pièce se mettent en place, le décor est planté, alors attendons la suite!..
Tanti basgi di KALLISTE !

Mamanpapounet a dit…

Salut,
Changement de décor et de "partenaires" pour cette suite australienne; je ne m'en inquiète d'ailleurs pas car sur un groupe on trouve toujours des gens intéressants. Mais peut-être reviendras-tu vers Sydney avant de quitter l'Australie ?
Pour te donner des nouvelles brestoises, ici tout va pour le mieux d'autant qu'il fait très beau depuis deux jours.
@+
Bises

Anonyme a dit…

Sacré Thierry,
Quel talent! On commencait a se lasser des belles photos et des panoramas, et voila qu'en scenariste averti il nous colle une histoire d'amour palpitante, avec rebondissements, coups de fil qui n'aboutissent pas et un suspense insoutenable sur la petite phrase de l'aeroport...
Chapeau l'artiste! Nous ne pouvons qu'etre captifs!
Chuintante

loltaz a dit…

je suis d'accord avec hélène c'était quoi cette dernière phrase alors je vais faire dans l'interactif:
1: t'as pas 5$pour payer le taxi.
2: t'as une préférence pour un prénom (bisous maman)
3: t'aurais pu faire les courses avant de partir.
4: bon à plus tard euh... machin
5: j'ai trouvé de très jolis rideaux pour la chambre des jumeaux.

6: j'ai jamais fait ça dans une gare (recoucou maman)
7: c'est où la corse?
8:hobiwan kenobi
9: Où tu iras j'irai... mais je dois d'abord passer chez le coiffeur.
10: tu sais où sont les toilettes dans la gare.
11: thierry c'est toi le meilleur
12: t'es le champion de la pampers qui glisse (j'ai fait anglais lv1 moi)
merci de m'aider à trouver et à bientôt sur les ondes.
bisous mon frère et désolé Marion
on est tous comme ça dans la fratrie...