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lundi 2 mars 2009

27-28/02 – 1/03 – Sydney ! Oublie tout ce que tu crois savoir et réapprends… Puuutain, deux mois !

27-28/02 – 1/03 – Sydney ! Oublie tout ce que tu crois savoir et réapprends… Puuutain, deux mois !
Sorry, chers fidèles et pas, je n’ai rien posté depuis quelques jours. Tout va très bien, je n’ai pas encore achevé ma tumultueuse carrière en brochette barbecuettée, dans les incendies de Melbourne, vu que je réside à Sydney. Et, profitant de l’hospitalité de Marion, très motivée pour un week-end type vacances non-stop, je n’ai pas arrêté. Long rappel des faits…
Vendredi matin, 5.15 am. Vraiment trop crème ce Pierre calédonien : pour m'éviter de manquer l'avion, il m'emmène à l'aéroport se coltinant les 40 km A/R avec une scoliose (non, ce n’est pas une autochtone). Je vote pour la création d'une médaille CS qu'il mérite.
« Le CouchSurfing ? C'est rencontrer des amis que tu ignorais avoir ! » ... Tout à fait vérifié dans son cas.
Légère galère à l’aéroport, Nouméa était la seule étape où j’avais demandé un prolongement de date (sans frais), sur l’ensemble du trajet, deux jours après que l’agence m’ait réservé le billet Tdm. Précisons que cette agence m’avait prévu seulement quatre ridicules journées sur Nouméa… Évidemment, ils ont omis de réserver le vol et de préciser des frais supplémentaires non inclus de 42 euros. Grrrrr !
Pas de voisin à sympathiser, pas de décalage horaire, j’atterris après mon réveil, dans l’hyper contrôlé aéroport de Sydney en sympathisant avec un couple de jeunes Français partant en camping-car. Il est plus tôt que prévu et mon 2ème prénom manque au document pour obtenir l’ETA (visa australien), rien à voir avec les basques. Agence à la noix.
Décors, Anglais à reparler, ambiance générale, douaniers,… En partant d'Ouvéa avec un avion d'Air Tahiti, l'impression curieuse d'un retour en arrière s'était manifestée ; à l'arrivée en Australie, cette sensation se poursuit, on dirait San Francisco.Pas encore eu le temps de plancher sur mon guide, connexion internet payante avec mon pc, je cherche à joindre la surprise blanche ou noire du jour : Marion. Accueillante par mail, la copine affirmée et caractérielle de Sophie (qu’elle a mise à la porte) reste un mystère. Sophie que j’aurais connue 2 heures dans ma vie, c’est dire si je sais où je mets les pieds… L’adresse indiquée, Kirribilli, n’existe pas sur la carte de Sydney.
Achat d’une carte tél et Tûût tûût.
Pour résumer l’appel, elle me fait comprendre que je dois passer la voir à son travail (hôtel Accor) ; si je ne trouve pas, je suis une chèvre ; si elle aime bien ma tête, elle me laissera peut-être une clé et, pour trouver un transport, je me débrouille ou je viens «en chameau »… Pouet, pouet… Caaalice, ça sent le défi et le test à plein nez, cette donzelle est marrante mais va falloir que je m’affirme à même échelle. Cela promet.Après un premier échec de liaison, le chauffeur ne voit pas où c’est, j’en traîne un autre (de chauffeur) à une borne internet free, lui montre sur Googlemap où je vais et embarque. Surprise, ils roulent à gauche ! Vraiment l’impression de repartir à l’envers. En ce jour de deux mois de voyage, tout recommencerait-il à zéro ?… Tant mieux.
Face à un junglelovetiti presque fier et un peu timide dans sa casquette, arrive la jolie Marion avec ses faux airs de Claire Nebout, l’actrice française. Tentant d’assumer mon look d’Indiana Jones, j’échange quelques amabilités, risque une demi-blague ("ton plan est à l'échelle ? - Non, il faudrait trouver des pompiers..."), dépose mes sacs et pars découvrir Daily Harbour, le port à proximité.
Malgré l’apparition de nouvelles sensations - cette ville est magnifique, je n’irai pas bien loin.Cela n’est aucunement lié à l’impression de me faire mater la tête et les fesses par les quidams croisés (Sydney est une capitale gay) : l’aquarium se présente, souverain, devant moi. Après le désert maritime d’Ouvéa et sa plongée, le choc urbain et visuel est important, je préfère retourner voir les poissons. En plus, j’ai mon masque…
Spacieux et organisé, l’aquarium de Sydney est à faire et me passionnera 2h30.Crocodile, hippocampes, murènes, méduses, espaces privés des raies géantes (toujours pas Manta) et des requins, meubleront mon après-midi. Fichtre, je nageais avec des pointes blanches et des gris hier matin à Ouvéa… Ici, ils sont réellement é-nor-mes et beaux. Des seigneurs (sans faute d’orthographe). Finies les dents de la mer, les requins sont plus sympas que les routiers. Quoiqu’en Australie, l’humain serve souvent de cure-dents aux requins… Aux routiers aussi, peut-être. 6 pm. Le challenge commence, retrouvailles avec Marion.
Durant la traversée du quartier vers son appartement, elle s’intéresse avidement à mon voyage. Cinglé par mes 28 kg de sacs, je tente de répondre et de respirer en intermittence. Elle me fait griller en 500m la totalité de mes aventures tour-du-mondistes, mon sujet de conversation favori et informel. Et de quoi, je vais parler maintenant, moi ???
Son appartement est splendide, sa coloc brésilienne pas mal non plus…
Situé en face du célèbre Opéra, l’appart de Kirribilli donne directement sur la baie et le Harbour Bridge. Vue imprenable et en relief.
Située dans la chambre en face du canapé où je vais dormir, Suzy, la blonde colocataire brésilienne donne directement des gros sourires, me baragouine des « tchéris ». Fille en reliefs et imprenable ?? On verra.Après quelques emplettes, la non moins jolie Marion organise la soirée, nous retournons sur les pelouses en bas de chez elle (je parle de son appartement), profiter du coucher de soleil sur la baie. Durant les heures suivantes, nous faisons connaissance et échangeons sur nos parcours de vie, sirotant, sur un banc, un cabernet devant quelques bougies anti-moustiques face à la ville qui s’illumine progressivement. Honnêtement, il y a pire à la mine, serais-je chanceux ??Une mine de diamants d’Afrique du Sud, par exemple. C’est d’ailleurs là que son ex-mari vient de s’exiler après leur divorce. Du haut de ses 28 ans, cette demoiselle affiche une existence hors du commun : brillante élève, branchée théâtre, elle a déclenché une grave anorexie (descendant jusqu’à 32 kg) qu’elle a mise à profit par l’insatiabilité d’une « nourriture intellectuelle », lui conférant une solide culture générale, mais la rendant « spectatrice de la vie des autres ».
Cette maladie a duré les 10 ans de vie avec son Cyril de mari. En 2006, celui-ci a souhaité achever ses études à Sydney, elle l’a suivi et a dû trouver du travail. TRÈS persévérante et débrouillarde, elle a obtenu un poste de Project Manager chez Accor après 2 ans de boulot non stop obtenant un visa permanent, puis, avec ses voisins de bureau, notamment un certain Thomas, elle a retrouvé la vue et découvert la vie.
Depuis deux mois, elle reconstruit entièrement son quotidien, fuit les Français, a largué son mari un peu trop indifférent (en lui expliquant « tu as 30 jours pour quitter le territoire »), essayé une relation avec le Thomas (qui semblerait gay, malgré une déclaration amoureuse) et, en ce moment profite à différents niveaux de sa force intérieure et de son charmant fessier. Système 3/8 adapté : 8 h de boulot, 8 h de Fiesta, 8 h de sommeil.
Avec l’esprit compète, question histoire-de-vie-pas-très-drôle, je lui conte les déboires liés à la spondylarthrite, les raisons du voyage puis enchaîne sur le théâtre. Dans l’ensemble, cette discussion-découverte est harmonieuse et nous nous apprécions mutuellement. Ouf, le vieux con ne va pas se faire jeter de suite…Départ pour une soirée typique de Sydney, dans un gigantesque bar à, au moins, deux étages. Suzy sort avec elle pour la première fois, elles sont colocataires depuis une semaine. Surpeuplée et bruyante, la soirée s’annonce d’autant plus incertaine que Marion croise des ex tous les 15 m. Quant à Suzy, j’apprends qu’elle m’a trouvé « hot » (c’est une bonne nouvelle), mais elle évolue comme une poupée barbie dans un jeu de quilles, complètement éberluée. Nous la perdrons de vue en 20 mn.Au milieu de la horde humaine incompréhensible (dur de se remettre à l’Anglais surtout avec un accent différent), Marion se lance dans des questions plus intimes et en Français. Houlà, ne pas se dégonfler mais ne pas en faire trop…
Si je la trouve intéressante et agréablement achalandée, mon orgueilleuse prétention et ma timidité maladive s’adjoignent à la juste réflexion qu’elle me loge, pour ne pas tenter une plongée dans sa glotte : venir anonymement m’ajouter à un tableau de chasse endémique de soirées et être jeté, en provoquant un déséquilibre dans notre fragile relation amicale en cours, ne seraient décidément pas une bonne idée. Enfin, j’en sais rien.
Retour dans l’appart en passant par le définitivement séduisant Harbour Bridge. Voix dans la chambre d'en face : la Brésilienne ne parle pas seule, elle s’est dégoté un jeune benêt de 24 ans (elle en a 30) que j’apercevrais au petit matin, vaguement digne. Pfffiou, quelle journée !

Hier (28). Marion ne travaillant pas, elle organise le week-end, fonctionnant dans l’idée que demain peut ne pas exister, elle vit chaque moment intensément. Pareil.
Après un sommeil réparateur et un déjeuner dans l’herbe près du marché voisin, nous partons flâner sur les quais devant l’original Opéra, dont l’architecte danois, Joern Utzon, n’a jamais vu le résultat final (travaux commencés en 1957, il fut licencié en 66).En attendant le départ du boat pour la plage de Manly, nous prenons une glace et la direction du Botanic Garden proche, où se côtoient anarchiquement des cacatoès (les gros perroquets blancs bruyants), d’énormes chauve-souris sans perruque, des « Ugly birds » (Oh ! Un oiseau vivant…),
des étudiants avachis sur le gazon, des asiatiques en plein mariage,… Dans la baie voisine, les nombreux voiliers, les ailes déployées comme l’Opéra, se disputent la vedette (si j’ose dire) avec les ferries bondés. Somptueux.La traversée de la baie se montre tout aussi séduisante. Au rythme des flots égayés par le soleil, les sens à l’affût travaillent à plein emploi (comme beaucoup d’Australiens d’ailleurs, ce continent ne connaît pas la crise). Un hydravion nous survole, des petits dériveurs en régate nous frôlent, les émotions en plusieurs langues sont palpables, Sydney m’enchante…Indéniablement, nous sommes cependant déçus par Manly. La plage, où fut découvert le surf en 1890, est belle mais les puissants courants ont obligé les garde-côtes à intervenir 10 mn avant notre arrivée. De fait, se baigner n’est possible qu’entre deux drapeaux et 10000 quidams jaunis.
Par ailleurs, à Ouvéa, en faisant pipi dans l’eau, tu la refroidissais, à Manly, la fraîcheur est renforcée par le soleil voilé. Au profit de quelques verres de rosé (à proximité d’un concert), nous abandonnons le sable farineux et continuons les conversations-découvertes d’hier… « Attends, on est à Sydney, il y a du soleil et du rosé et tu n’aimes pas les olives ? T’es un vieux con ! », provoque l’impertinente Marion dans ce tac-au-tac verbal…Au retour à Kirribilli, nous sommes totalement nazes et préférons rester squatter l’appartement afin d’être en forme pour le lendemain, où un départ est envisagé pour les Blue Mountains. Les montagnes, nous les trouverons en définitive, au détour d'une omelette aux oignons.

Today (1er mars), lever tard, ça fait du bien de récupérer vraiment. Peu motivés, nous enfilons les affaires lavées (mais puantes car oubliées dans le séchoir), pour nous rendre dans un café voisin et s’essayer au Breakfast typique australien (omelette, bacon, saucisse, champignons, pain beurre, confiture et chocolat). Le taux de change est actuellement favorable, 1$ australien coûte 0,47€, mais « il va falloir surveiller un rien tes dépenses » hurle mon anorexique porte-monnaie. Galanterie corse oblige, j’ai pris l’habitude de tout payer à mon accueillante hôtesse. Elle me le fait remarquer et se chargera des frais de déplacements de la journée. Le train pour les Blue Mountain est en travaux pour le week-end, changement de programme imposé. Notre choix se pose sur Bondi, autre playa de surfers réputée.Aïe ! Je suis un peu fringué en randonnée et conserve des chaussures visuellement inadaptées au maillot de bain.
Soleil, vagues et Pool Party sont au rendez-vous. Au sommet du Swiss Ground, Absolute Vodka organise sa dernière boum entre bourges à la piscine de l’hôtel. Les yeux baladeurs, je contemple béatement les grandes bombasses top-modelés qui s’y rendent. Arrrrgh ! un jour, j’aurais du pognon et je vous ferais tous caca sur la tête !
Au bas de « son » hôtel (ma petite manageuse aimant s’approprier les locaux de son groupe « vu ce qu’elle gagne »), la big beach propose son sable à nos serviettes toutes neuves, achetées au beau milieu des nombreuses boutiques de surf. Bondi est une capitale pour Billabong, Quiksilver,…Fonctionnant au refus des frustrations futures, Marion agit souvent sur des coups de tête. Elle a, par exemple, déjà claqué 400 dollars en louant une suite au Sheraton de Paris parce qu’elle avait 4h à attendre une correspondance aérienne, elle adore voyager. Plus simplement, à Bondi, elle décide de rallier Nouméa par la mer. Enfin, c’est ce que j’ai pensé en la rattrapant difficilement à la nage au large, vu qu’elle ne voulait pas rester avec les fourmis-touristes. « Y a des requins par ici », me noie-je !!!
4.30 pm. Maintenant, elle veut un cheesecake.
« Yeesss ! » confirme-je, mais nous ne trouverons rien d’ouvert sur la Campbell Parade. Finalement, arrêt à un Gloria Jean’s pour déguster ce typique et fort salivant gâteau dont j’avais eu la curiosité dans un épisode de Friends…
7 pm. Kirribilli. Douche. Départ pour la surprise du dimanche soir, un petit verre de pétillant, terrasse de l’Opéra devant le magnifique et spectaculaire accostage d’un énorme ferry (plus grand que celui parti auparavant). Puis, longue quête d’un resto non touristique et dispendieux sur le port. Retour à l’appart, Suzy est rentrée de son rencard avec son « guy », le poupon boutonneux. Dodo.Demain, suis seul et dois m’organiser (enfin !) la planification de la suite : rester à Sydney jusqu’à samedi pour voir la grandiose gay-pride ? Partir plonger à Cairns sur la barrière de corail ? Me louer un 4x4 pour Fraser Island près de Brisbanne ? Annuler Alicesprings et/ou conserver Adélaïde ? Beaucoup d’incertitudes pour une évidence, le pays de Skippy, le grand gourou, se profile gigantesque et ce n’est pas cette fois-ci que j’en achèverai le tour…
Record battu. C’était long, hein ? Totally Sorry…Pour conclure les 12 tomes pas-corses de cet article :
1) Félicitations à Cécé et Yoyo, à la Ciiindy’s family bretonne et à Anne-cé et Mick. Tous ont produit des bambins pour financer ma retraite de fonctionnaire
2) Bon anniversaire à Jeff et, bien sûr, mon ti fanch’ de filleul, correspondant officiel. Comme dirait un garagiste ou une jeune mariée, « une bougie, c’est rien, mais c’est important pour démarrer ». Je t’aiderais pour la deuxième, mon gars.
3) Si vous ne savez pas quoi faire devenez « friends de facebook » avec Yaaman qui vous becque tous.

12 commentaires:

Soso a dit…

Wahou!!!!Tu viens de me donner encore plus envie de faire des economies et d'aller visiter cette vaste île qui, au travers de tes mots (certes nombreux aujourd'hui mais toujours aussi agréable) semble vraiment géniale!!! J'ai l'impression que ton capital chance continue et que tu es encore tombé sur une tite dame bien accueillante, tant mieux! Nez t'inquiète pas Indy, si tu n'as pas le temps de tout faire, on y retournera ensemble, ça me plairait trop!!!J'aime bien que tu mettes de plus en plus de photos, c'est chouette, on visualise mieux, forcément! J'espère que tu vas réussir à t'organiser un bon parcours histoire d'en voir le maximum car, à ce qu'on m'a dit, l'Australie regorge de richesses à découvrir, et je suis sur que tu n'es pas prêt de t'en lasser. Continue ton périple, profites à fond et surtout n'arrête pas les news... Je te remercie aussi pour le clin d'oeil du sAigneur, ça fait toujours plaisir de voir que tu penses à nous, un par un!!! Plein de gros bisous d'amour parrain+++

Mamanpapounet a dit…

Salut,
Mère commençait à s'inquiéter de n'avoir pas de nouvelles de son conquistador (et non con qui s'adore) de fils. On constate que tu restes fidèle à la Bretagne (il faut le faire, loger à Ker Abily !).
Eh ! oui en Australie on roule à gauche (en Inde aussi); en France on roule toujours aussi mal à droite avec le sémillant N.S (cela ne veut pas dire Notre Se(a)igneur)mais...). Fais gaffe aux requins australiens car ils sont dangereux comme le relate un article du Télégramme de ce matin (3 attaques de surfeurs). Quant à faire le tour de cette île-continent, je pense qu'il te faudrait plusieurs mois supplémentaires pour cela.
Bises

La Famille Kerkiki a dit…

Zut! a 15 minutes prêt je me fais gauler mon commentaire, je pensais y parler de l'entrefilet du Tastroisgrammes de Brest mais je remarque qu'Annie à commencé sa lecture plus tôt. ça m'apprendra a le commencer par la fin...

Bonne baignade quand même...
La Bisss, les Kerkiki

Anonyme a dit…

Alors Jm, même pas une demi-molle ?

kalamity2a a dit…

S à T Ô M I d'I J
D'accord avec Soso! J'adorerai visiter cette ville, elle est vraiment splendide!
Encore une fois, t'as du bol de tomber sur des CS comme ça! En plus, elle n'est pas "goffe" , non?
Alors...Wait and see....
Que dire si ce n'est des banalités..Ben oui, je le répète, Régale toi bien et fais nous encore rêver!
B B d'AJACCIO

Xav a dit…

Hello vieux frère, c'est toujours un régal de lire ton blog et d'admirer tes photos.

Have a good trip !

Anik a dit…

N'aurais-tu pas trouvé ton double féminin???

Anonyme a dit…

Ca y est, notre Titi national est tout sous le charme d'une donzelle... J'ai adore le "maintenant elle veut un cheese cake" qui traduit si bien l'attention toute devouee que notre gentil Thierry accorde a sa protegee. Snif. J'en suis toute emue...
Chuintante
ps: la gay pride, c'est non, tu pourrais etre tenté (et je preferes mettre l'accent sur ce terme la...).

jeumeuleu a dit…

Salut titi!
Ca se présente pas mal l'Australie on dirait!!
Pour répondre à Mr (ou Mme) anonyme (Greg notre ami corse prof d'échec peut être?) je dirais qu'une demi-molle voire plus peut se présenter à l'horizon (c'est prtentieu comme formule j'en ai conscience...) vu que la logeuse et sa colocatrice sont plutot "toc de mac"!!
Sinon Titi j'ai eu des news d'un pote qui est déjà allé en Australie et à qui j'ai demandé conseil pour toi, voici sa réponse:
"Bon, moi, je connais surtout l'ouest du pays. l'est (sydney tout ça) j'ai dû y passer deux jours. ça m'a gonflé. Mais je sais que y'a des trucs de ouf (les blue mountains, noosa, mais surtout melbourne et la tasmanie).
En ce qui concerne l'ouest, alors là, c'est autre chose. Le paradis sur terre. S'il a du temps et une bagnole : la route de perth à broome est (longue mais) hallucinante. en chemin : exmouth, et un endroit qui s'appelle "turquoise bay" : des fonds coraliens avec des poissons comme dans les aquariums d'océanoplis, sans oublier les raies, les tortues géantes et... les pointes noires. inoffensifs, mais avec une vraie gueule de requin. on avait même vu des baleines et ses petits nous, a cent mètres derrière la barrière. un vrai truc de ouf.
y'a aussi red bluff, coral bay ou kalbarri.

deuxième hypothèse : il a pas de caisse et pas beaucoup de temps.
Il y a tout le sud-ouest qu'est génial (cape leewin, margaret river, black point, NORTHCLIFFE (j'ai plein de super potes là-bas) etc etc etc)

Mais la tasmanie sinon c'est très bien hein..."

Voilà j'espère que ça t'avancera pour tes choix et si tu as des questions à lui poser je dois pouvoir vous mettre en contact via facebook, boite mail etc.
Ciao

Anonyme a dit…

Australie, deuxième destination incontournable avec l'île de Pâques pour moi. Ahhh rouler au soleil couchant vers le Mont Uluru en écoutant 'Devil inside'...
Je commence à mettre des sous de côté dès aujourd'hui.
Bizz

Le Rital a dit…

Une p'tite pensée pour notre titi internationnal... Je suis en train de lire un thriller, avec des morts et de l'hémoglobine, qui se passe en australie (en grande partie à Sydney) !!!
Evites le bar, l'Albury... c'est un conseil d'ami ;-)

Anonyme a dit…

Non Jean Marc, ce n'est pas moi le perfide anonyme. Peut-être une ex qui attend le retour du gourdin que sais-je...
Et puis bon, on connaît Thierry la jeune fille serait nue devant lui, il continuerait de lui parler de sa pièce et des vieilles charrues. Pas la peine de s'exciter pour si peu.
Mon Titi je t'embrasse, et cogite pas trop...
PS: Euh fais gaffe, ta famille va découvrir que tu es hétéro.