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dimanche 19 avril 2009

13-15/04 – Un dernier pont et on se thaï...

13-15/04 – Un dernier pont et on se thaï...
Malgré la perte irréparable de mon inestimable carnet de route , emprunté par un chauffeur indien (qui va mourir car je le maudis toutes les heures) pour trouver une adresse et à qui j'ai oublié de le redemander (putain de pourboires !!!), je vais essayer de remonter le temps.
Suis très colère en fait : 3 mois et demi de repères personnels, de visites prévues ou impromptues, de notes sur le vif, d'adresses de potes assis autour du monde, de plans illisibles, de mots dans toutes les langues, ..., laissés connement derrière le pare-brise d'un chauffeur sympa qui n'y verra qu'un cumul de hiéroglyphes et le jettera sans doute. Grrrrr.
Par ailleurs, je vais devoir vous imposer plus le fond (de ma pensée) que la forme (des paysages), la connexion indienne pour internet se fait par ligne téléphonique et télécharger des images avec un tel débit est un calvaire ; je reviens donc à une politique d'austérité sur le visuel...
Pour conclure le circonstanciel, je rédige cet article tantôt sur le siège de la gare à Jaipur, puis dans le pov' bureau des contrôleurs à 12.20 am (train en retard) puis dans le dit train vers Jaisalmer, bouffant la poussière du désert environnant, dans des conditions défiant Indy...

Bref. Retour sur ces dernières heures thaïlandaises...
- Des chars d'assaut sur la route, la radio annonce que l'état de siège est déclaré à Bangkok et que les résultats des jugements récents à Bombay commence à provoquer des émeutes,
- depuis le temps que je ne les ai pas contactés, les Bretons devant m'héberger ont répondu un peu froidement à mon mail et mon avion a décollé à 1.05 am ce matin,
- le voyant essence clignote depuis 20 bornes, j'ignore si nous en sommes proches mais il reste 20 mn pour rallier cet aéroport qui nous sort par les trous de nez (entre autres),
... Globalement à 2.10 pm sur l'autoroute, la pensée du jour est « on a connu mieux »... mais pire est encore possible ! Je repense aux dernières 48h... 13/04 - Quel est le con qui a fait sauter le pont ?
Arrivés à minuit, nous retrouvons avec bonheur (un pote à nous) le Silver Garden Hôtel que l'organisée Marion avait réservé à bon escient. Précision utile, nous ignorons tout de ce qui se passe à quelques kilomètres.
Plusieurs heures de sommeil plus tard, après réflexion et conseil avisé de la patronne, nous optons pour être conduits direct à l'airport vers, heu, 11.15 am, devenu 1.15 pm (on a bien récupéré).
Objectif : louer un véhicule et nous rendre à 200 km de là sur le pont de la rivière Kwaï puis aller à Ayutthaya, l'ancienne capitale du Siam aux vestiges séduisants.
Problème, louer à l'aéroport est dispendieux ; avantage, c'est bien indiqué pour le retour et on évite la ville. D'autant que pour 48h de loque, Avis (le moins cher) nous autorise à ramener la Toyota truc à 2.30 pm.
Pendant que la réembauchée-copilote Marion part s'enquérir d'une carte routière, je découvre avec horreur (une vilaine sorcière) que non seulement il va falloir reconduire à gauche mais, de surcroît, que la boîte de vitesse est cette fois automatique. Cela peut paraître idiot mais je ne me rappelle plus entre « R, N, D, L » et leurs amis, lequel correspond à la marche avant. Discrètement, je chope la notice... en Thaï. Caaaalice !!!
Alors, il reste l'instinct et... la logique. Le R, sur les voitures européennes, c'est marche arrière. Logiquement, le point mort est après et, donc, D... En avant ! Enfin, si je lâche la pédale de frein qui n'est pas un embrayage...
Oui, si Indiana Jones peut conduire des tanks fracassés, une moto sans roue, des avions en feu et des éléphants en furie, ...,  j'ai du boulot, j'arrive à peine passer une vitesse. Passons. D'abord, il a une doublure, l'autre chapeauté.
En demandant préalablement conseil aux chauffeurs de taxi voisin pour l'itinéraire, la partie semble gagnée. Mouais... S'ils pouvaient indiquer tout le temps la route, ce serait mieux : ils n'ont pas précisé qu'ils donnaient seulement les principales étapes... On se croirait en Indonésie, sauf que l'écart de route ne sera pas de 20 km cette fois, plus difficile de rattraper...
3 péages à 20 baht et deux contresens plus tard, nous roulons hasardeusement sur la Rama 2, agrémentée de forts jolis ponts de Plougastel en plus moderne, mais ignorons où nous allons. 1/2h passe dans le cockpit de l'angoisse, un panneau nous indique une des villes repères. Pfffiou...
Finalement, nous arrivons, pile poil, pour le sunset sur le « Bridge over the river Kwaï » en sifflant « Hello, le soleil brille, brille » de circonstance (pour les incultes, il s'agit de l'air sifflé par les militaires aussi enjoués que les 7 nains dans le film), au prix de quelques nouveaux détours. Parking (ou pas....), quelques brochettes de boulettes de viande et de japonais nous obscurcissent l'estomac et la vue, détaillons le décor...
Le pont est-il comme dans le film, mon cher papounet ? Je le croyais en bois (le pont), mais il a été reconstruit, non ? Peu importe, nous prenons quelques clichés émérites, sachant que les rails sont au bord de rien, un faux pas et plouf, tu te kwaï au fond de l'eau...
Rien de bien passionnant cela dit. Juste la curiosité d'essayer de se mettre dans les conditions guerrières inspirées par l'Histoire, écrites en cet endroit désormais touristique.
Décidé à voir ce célèbre lieu s'embellir sous le fond rosé du soleil pionceur, je nous fais poireauter plusieurs minutes, alimentant de ma persévérance ma comparse incrédule sur le « rôze » à venir (quand la Toulousaine reprend son accent) et de mon sang, trois moustiques affamés. OK, je ne suis pas Esteban, partons chercher un hôtel. MAIS, today is a special day, the Mum's birthday ! Par conséquent, je tiens à faire une apparition vidéo à la soirée immanquable de l'année, coucoutant par la même toute la famille. Pour cela, il me faut Internet et une webcam.
Ben là à Kanchanaburi, c'est pas gagné... Déjà les hôtels, ils se cachent...
Deux tours de ville, 4 hôtels dissimulés et 2 guest house plus tard, il est 8.pm, il me faut abdiquer : le Xi, un modèle japonais semble parfait. D'autant que le patron, contrarié de ne point pouvoir me proposer une webcam, nous attribue la suite de luxe à 900 baht avec breakfast.
A nouveau, la chambre est sublime, classe, épurée et, cette fois, j'ai dénaturé moi-même le TDM, anticipant le plaisir de la smiley Marion... La suite (de la soirée) est moins drôle : je passe UNE heure à chercher une webcam dans des cybers (ils n'en ont pas non plus – c'est quoi ce pays ?), finis par en dénicher une et l'acheter d'occasion, trouve la même (neuve) 30 m plus loin, arrive sur le pc de l'hôtel et constate avec une inquiétude légitime que tout est en Thaï, croise internautiquement ma vieille mère sourde maintenant, ;-), et, fort impoliment, lui file rencard après, quand il y aura plus de monde : il est 9.30, j'ai une dulcinée sur le feu et elle doit l'être (en feu) après 1.30 à m'attendre, m'ayant juste lancé : "tu as déja essayé la téléportation ??"
Ben non, elle ronflôte comme une bienheureuse. Un peu fracassée, elle me demande « quel jour sommes-nous ? »... Tiens, excellent palliatif pour ne pas parler de mon retard... Je lance la conversation avec l'idée globale que nous sommes en 2010, qu'elle m'a invité dans cet hôtel pour célébrer notre anniversaire, nous parlons des enfants, de nos carrières respectives (notamment tout ce que j'ai dû abandonner pour céder à ses exigences financières) et prenons un certain plaisir à rentrer dans le jeu du vieux couple indifférent, qui se tape une crise "remise en question"...
C'est rigolo de s'engueuler maintenant sur des sujets qui n'ont pas d'existence. Tellement investis dans nos rôles, qu'il nous est impossible d'en sortir...
Ma vieille concubine trouve finalement LA solution : elle se rendort (pour de faux) ! A son « deuxième » réveil, je redeviens « normal » et lui rappelle qu'elle m'a déjà fait le coup, il y a 5 ans... Ho ho, ce qu'on se marre. Toutes les révélations sont intéressantes cela dit...
Avant d'aller souper (en Asie, c'est le cas de le dire), je prépare en 10 mn la future actualité photo en retard du blog et rédige une recette de jeunesse pour présenter ma Moman... Il serait temps d'être un bon fils... Coup de bol, les ides émergent toutes seules.
Profitant des fêtes du nouvel an, la zoupe thaï (le serveur a un cheveu sur la langue) poulet-nuddles-légumes descend avec une bière Tiger, sur fond d'ablutions vocales des David et Jonathan del la riviera kwaï aï aï aï ayaa ayaï...
Retour au Xi. Pour la première fois depuis notre idylle, je délaisse Honeymoomoon pour répondre à l'instinct familial.
Malgré le langage thaï xxs, je connecte en premier le Lolo (en pensant que son pc est au milieu des 60 ans), il m'apprend que la fiesta a eu lieu hier et qu'il sied à Gisors, trouve brièvement un Rico (qui a enfin des chiottes) et une Moman contente d'avoir fait la fête et de mes niouses. Puis publication du blog, j'en profite pour balancer des vidéos stockées depuis Uluru... A 3..15 am, je me décide à rejoindre ce partouzeur de Morphée, réveillant pour la deuxième fois, la perturbée Marion. Puis, je zzzzz zzzz zzz, épuisé.

14/04 – Pourquoi faire simple quand on peut faire mieux... Ayutthaya, la route cachée.
Apres : "je t'ai déja fait la grenouille ??", la sportive Marion enchaine : « je te donne 10 mn pour faire ton sac, ils sont déjà très gentils de nous faire le check out à 2 heures, il ne faut pas abuser ! ».
C'est pas faux, mais depuis l'Indonésie et dans des conditions limites, je n'ai pas eu le plaisir d'exploiter internet aussi longtemps. Pas à dire, le wi-fi dans la chambre redonne à Internet la saveur d'une drogue licite... mais fait perdre du temps...
Aspects positifs :
- j'ai acheté mon billet de train pour la Bretagne, je rentrerai donc le 29 vers 11h pas de train après 19h, le 28, faudra que je dorme sur Paris, quelqu'un peut m'héberger ?
- je sais mon compte en banque lancé à 200 km/h au volant d'une voiture sans freins remplie de gaz d'échappement, se dirigeant vers un précipice abyssal, la corde au cou... Un tantinet dépressif, quoi.
- j'ai pu envoyer quelques mails en retard (notamment en Inde)
- les vidéos sont en ligne, sauf « Merci Sophie 2 » dont le format n'est pas passé, c'est ballot...
Vraiment agréable cet hôtel, ils nous ont amené le petit déj (en retard) mais dans la chambre. Pour faire la totale, on a installé la table du salon dans le lit...
Damned ! Elle a raison la fâchée, il est 2.20 pm et on a de la route...
Sous des seaux et des jets d'eau divers, nous prenons la route, le premier de l'an bat son plein et l'eau se vide sur tous les usagers de la route. Étonnant, convivial, rafraîchissant et très sympathique.
Pour ce trajet, refus de la simplicité proposée par la copilote, Nakhon Pathom, la direction phare de la veille, n'est qu'une suburb artérielle de Bangkok que l'on doit pouvoir éviter en empruntant des routes de campagne plus attrayantes. C'est certainement vrai, mais je ne lis toujours pas le Thaï...
Peu importe, après quelques hésitations, la route s'offre à nous et les 200 km sont avalés en quelques heures. Décidément, la Thaïlande n'a rien à voir avec ses voisins vietnamiens et cambodgiens. Ici, les larges routes de campagne sont plus proprement bitumés que les avenues d'Ho Chi Minh, même le décor oublie d'être asiatique. Cela dit, en envisageant cet itinéraire, je voulais voir une autre facette de ce pays, je sais maintenant qu'elle n'en a pas véritablement. Cette country est riche et « made in Bangkok », ça a rapporté pas mal. A qui, c'est un autre problème...
Aux détours de ces aléas routiers, nous croisons des éléphants, des enfants, la vie quoi... Mais, partis tard, nous arrivons aussi tard à Ayutthaya, également en fête de Bônané, bônnesanté.
Plan de la vile en mains, nous trouvons rapidement un des hôtels cités par le Lonely. Pour notre ultime nuit commune, l'exigeante Marion veut du confort. Habilement, elle laisse le type-qui-se-prend-pour-le-patron nous montrer les 3 catégories de chambre puis passe à la négociation. Après plusieurs arrivées tardives (après 7.30 pm), nous avons constaté pouvoir régulièrement bénéficier de la classe supérieure à prix réduit, elle tente le coup... 1200 baht (25 euros environ), la suite de luxe avec breakfast. Yooooo !!!
Pas le temps d'aller à la piscine, ni sur Internet, le cri de l'estomac éploré se montre trop puissant.
Au cours du petit tour de cette minuscule et très jolie (enfin) typique ville thaï, nous nous égarons à plaisir au coeur de la fête et dénichons un restaurant-terrasse au bord du lac. Plus romantique que ça, on finit génocidés en Roméo et Juliette... Durant le délicieux repas, une nouvelle idée amusante vient sauver mon épanchement verbal : détournant la conversation initiale en "confidences intimes entre vieux potes qui se retrouvent", je révèle à l'attentive Marion les surprises du TDM. Ensuite, pour rompre son silence entendu (ho, ho), je lui renvoie la balle « Et toi, que t'est-il arrivé ces derniers mois ? Cela fait bien un an qu'on ne s'est pas parlé... ».
Essayez pour voir... A vos risques et périls : il est particulièrement enrichissant (et complémentaire à la soirée de la veille) d'avoir une discussion de ce type.
A un(e) vieil(le) ami(e), on se confie objectivement sur son présent. Si l'autre respecte la consigne et rentre dans le jeu, c'est très révélateur, parfois embarrassant mais ça finit en s'embrassant (ce qui n'arrive pas toujours avec les vieux potes, même sexys)... dans une fête foraine ou un hôtel de luxe (avec une bière et un bacardi orange) ... C'est-y pas une belle histoire ça ?
La suite est classée Z. Pour le sommeil, bien entendu.

15/04 - Je ne conduis pas, je pilote... Le moteur est-il bridé lui aussi ?
A force de se coucher à des heures indues, le réveil devient régulièrement tardif et on se sent forcés de respecter la « routine » sans envie : nous arrivons au petit déjeuner à la fermeture. Sale manie.
Après avoir apprécié la visite de la veille dans la vieille cité (non, pas toi, Môman, oups ! ;-)), la décision est entérinée de prendre une heure à nous balader. D'autant que je viens de voir un changement notable entre le billet électronique en ligne (fourni par l'agence mais rarement consulté) et l'impression papier faite avant mon départ : mon vol pour Mumbai aurait décollé à 1.05 ce matin. Si c'est le cas, je n'ai plus d'avion qui m'attend à Bangkok pour Bombay et la suite du parcours est remise aux négociations...
Avant d'être la Thaïlande friquée, ce pays a été le Siam (bien connu des Brestois) et sa civilisation, un modèle culturel, économique et religieux entre 1350 et 1767. Assez bien conservé pour une visite dans le passé, le cœur d'Ayutthaya nous fait vibrer de son histoire.
Un vrai bonheur sous fond de frustrations : la capitale du Siam est magnifique, harmonieusement achalandée de temples, pagodes, jardins, éléphants décorés, buddhas, rivières, ... Sans compter l'ambiance festive omniprésente... Nous aurions peut-être dû y passer plus de temps. Mais cela nous aurait priver de moments uniques d'un autre genre. Suite à un nouveau cliché « I believe I can fly » (j'y aurais pensé plus tôt, il y en aurait partout dans le monde), je me lance à l'intérieur d'une pagode aux offrandes visibles... Puis à la vision des chauve-souris et à l'étouffement lié à l'odeur (bonne apnée, bonne santé), je perçois qu'Indy, c'est un métier.
Caaaalice, déjà 1.15, nous devons rendre la voiture à 2.30 pm... Les chauffeurs de taxi m'avaient annoncé 1h de route max, mais les mêmes prévoyaient 2h pour Kanchanaburi et on en a mis 4...
De fait, commençant à me familiariser avec la technique asiatique, je ne conduis pas, je pilote, zigzaguant entre les voies (de toutes façons, je ne sais pas laquelle est la rapide), suivant d'autres pressés du champignon.
40 mn passent, nous nous retrouvons au départ de ce récit en allumant la radio, après constat de la présence de chars sur la route, le voyant d'essence en détresse respiratoire...
Finalement, arrivée à 2.29 pm à l'airport, pas de carte postale locale, j'improvise pour le destinataire privilégié, puis devant une glace (encore !), préférée au Novotel, la passionnée Marion et JLT passent leurs derniers instants ensemble...
L'Europe nous attend plus tard. Pas d'Internet dans cet insupportable aéroport (6 fois que j'y viens), choix imposé pour la destination : ou Delhi, pas prévu, ou Bombay, demain, sans hébergement et potentiellement en furie...
Réponse 14, je pars où les éléments me guident.
A peine dans l'avion, je vois la page se tourner en entrant dans la dimension indienne... Le trajet promet, la suite aussi...

5 commentaires:

loltaz a dit…

pour un cpe perdre son carnet de correspondance c'est tout de même un comble. Enfin maintenant que tu chez les indiens le parcours sera peut être plus flêché (désolé).
tu finis ton tour et tu reviens au système CS histoire d'être un peu roots.
so long brother

Michèle a dit…

coucou
si tu as pris un taxi référencé,peut-être peux-tu tenter de laisser un mail au CS pour qu'il contacte leur terminal avec les objets trouvés...c'est peut-être une idée!
que cela ne te gache pas la fin du voyage : certes c'est ballot mais je suis certaine que dans la tête tu peux retrouver plein d'infos.
Enormes bisous
Prends soin de toi
Marraine

kalamity2a a dit…

S Ô M I D'I J
Tu as raison, Indi c'est un vrai métier et t'es vraiment un PRO !
Même pas doublé!!!
Non seulement tu vas publier un best seller , mais en plus Spielberg a déjà demandé les droits d'auteur et t'attend pour le tournage. Saperlipopette!
Veinard !
BIZZOUX CORSES

Lena a dit…

Coucou Papa... !
J'ai du relire plusieurs fois pour tout bien comprendre. Mais c'est bon mon cerveau en a été capable.
Le canapé aux couleurs indiennes (d'ailleurs) est toujours là pour toi si tu veux, pour ta nuit à Paris.
Je te fais de gros bisous, toujours passionnée par tes aventures.
(l'idée de demander aux objets trouvés est bonne)

natdebrestenfin ! a dit…

hello cher ami !!!

rattraper plus de 10 jours de lecture, c'est pas possible....(pour cause de voyage !! moi aussi je bouge : naples et rome ... bon, c'est moins depaysant je t'avoue... )alors j'ai survolé un peu, beaucoup regardé les photos, et appris que ta maman avait fêté son annif (bon anniversaire annie !) que dame marion t'avait rejoint ( parfait !), que tu avais perdu ton carnet de route (ballot) et tout et tout .... on t'attend donc le 29 avril vers 11h à la gare de brest meme c'est bien ça ? tu repars quand en corse ??? big bizzzzzzzzz