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dimanche 26 avril 2009

20-21/04 - Jodhpur pourrait se faire voir chez les Grecs

20-21/04 - Jodhpur pourrait se faire voir chez les Grecs 20/04 – Couchsurfing, les rendez-vous de l'incertain...
Jaisalmer s'éloigne avec un petit pincement cardiaque. Ils étaient vraiment sympas et serviables dans cet hôtel, finally. Pour une fois, j'ai eu l'impression de ne pas être pigeonné et le safari reste une aventure aussi singulière que sensitive.
Le peu de sommeil de la nuit est rattrapé dans le bus local, où comme d'hab', on pourrait me présumer Docteur Livingstone... Plusieurs arrêts bruyants sur un parcours chaotique, où systématiquement, les gamins des boutiques de rue se jettent sur le véhicule afin de vendre des bouteilles, des glaces... Le gosse de 13 ans albinos est le plus tonitruant. Sa peau pâle, ses cils blonds et sa chevelure blanche stigmatisent sa morphologie indienne évidente au milieu du brun très noir des cheveux et de la peau résolument tannée des autres ados. Tout le monde semble le connaître, ce qui ne veut rien dire en Inde...
Beurk, l'ice-cream chocolate "delicious" est un glaçon insipide au goût café et au bâton déjà cassé. Il est vrai que le carton était le seul emballage... A l'arrivée dans Jodhpur, c'est l'assaut : je mets bien 5 mn à franchir le mur de chauffeurs de rickshaw avec mes deux sacs... 200 m plus loin, il y en a deux qui s'accrochent encore, mais je trouve un centre internet avec cabine.
Malgré le ton sec de ce CS, tant sur les propos de son profil ("I don't want to be an hostel") que dans la prise de contact téléphonique, Ramnivas finit par laisser l'adresse au persistant chauffeur de rickshaw. Il est vrai qu'à 8 pm, il ne m'attendait plus. Tout va bien, je peine à comprendre son Anglais...
50 roupies et quelques km plus tard, malgré les hésitations du driver incertain, je me retrouve dans une haute maison familiale dans le cul du sac d'un quartier piétonnier. Sans aucun lien avec celle de Kaustubh.
Ramnivas, sa femme Neela, ses deux filles, Lydie 4 ans et sa sœur je-ne-sais-plus-mais-je-ne-vais -pas-remettre-un-prénom-français d'un an et demi vivent avec le père et la télé dans la pièce principale.
Quelques minutes de présentation, il n'est pas si froid, le gars Ram, finalement. En revanche, à l'image de mon CS indien précédent, il sait ce qu'il veut.
Autre précision intéressante : afin d'affiner ma recherche de CS, je choisis le plus souvent le tri avec le Français parlé. Non pas que j'évite la difficulté (Ramnivas et Kaustubh savent dire "bonjour" et "comment ça va ?", ce qui correspond avec optimisme à "Beginner") mais s'ils sont intéressés par le fait de s'exprimer en Français, j'ai plus de chances...
Stratégie efficace depuis le début du TDM. Après ces quelques aspects présentatoirs (où je porte un intérêt évident à sa vie et sa famille) et une douche salutaire dans une chambre isolée et tranquille, il me propose d'aller manger dans un resto pas loin.
Là aussi, ce n'est pas la même ambiance qu'à Jaipur (pourtant, ils ont le même âge), Ramnivas m'embarque sur sa moto 160 CM3, slalomer au cœur de la ville, avec ses deux filles assises devant lui, le seul à porter un casque. La prudence, c'est important...
De fait, j'imagine un trajet de 3 mn. Ha ben non : à grands coups de klaxon, de réflexes, de freinages, de discussions avec ses filles ou moi simultanément, le Ram traverse sans complexe les vieilles ruelles sans visibilité de la vieille cité sinueuse, puis sillonne les grandes avenues pendant 20 mn. Assez sport de frôler vaches, rickshaws, chiens, motos, voitures, humains tous les 3 mètres. Pas grave, je sens que mon décès ne peut avoir lieu ici...
Lors de ce périple géographique, j'ai eu l'occasion de circuler dans plusieurs pays assez allumés question code de la route. En Inde, il faut réellement être bien accroché, dans tous les sens du termes. Ici aussi, l'avertisseur s'utilise au sens premier : on avertit sans arrêt pour dire "je suis derrière", "j'arrive par la droite ou la gauche", "casse-toi" ou "dis donc connard, tu crois pas que je vais te laisser passer ?" ...
Règle de base : celui qui est devant a raison, donc ses écarts sont tolérés. Mais dès lors que celui de derrière a klaxonné, il manifeste l'intention de faire également ce qu'il veut, sachant que certains roulent en plus en contresens... Ils ont droit, ils klaxonnent !!
Et ils sont nombreux à chercher à s'imposer, vu (entendu ?) le concert permanent...
Parfois, les chocs s'évitent de justesse. Parfois, tout le monde se tient tellement dans un mouchoir de poche que non (exemple, le léger froissement de tôle entendu à Jaipur dans les embouteillages stressants). Parfois encore, la priorité se mesure à la taille ou la cylindrée du véhicule. Aux croisements, les feux sont essentiellement décoratifs et aux ronds points, c'est le défi : le premier qui cède a perdu le passage...Règles adaptables et réflexes nécessaires. Le tout sans s'insulter, certains regards hostiles témoignent suffisamment. En gros, tu passes ton permis de conduire en Inde (vers 8 ans et demi) et conduire en Europe devient trop facile...
Au bord de la route, le resto est un délice agrémenté par son voisin jus-de-fruiteur. Casquette à l'envers, un tantinet pas à ma place, je sens nombre de regards posés sur moi. M'en fous, c'est bon. Je bouffe et je fais caca comme vous, les gars...
Trajet retour, Ramnivas stoppe brutalement devant une voiture, un chien énervé et son propriétaire. Perqué? Je ne sais pas... Palabres pendant 20 mn, durant lesquelles s'improvise un concours de grimaces avec sa fille qui devient ma pote... "I want to buy this car", m'explique-t-il plus tard.
Retour dans sa haute maison, après ses études en tourisme et la location de chambres à des locaux, Ramnivas cherche actuellement à monter une Guest house. Il a déjà l'aval gouvernemental, très utile dans ce pays...
Ceci explique son côté couchsurfer un peu particulier : très occupé par ses activités, il a cependant déjà hébergé une centaine de personnes laissant des références ; pourtant, il parle assez peu et s'intéresse poliment, sans plus, à ma vie et mon voyage. En fait, ce CS ne reçoit pas de futurs amis (même s'ils le deviennent par la suite), il investit sur son avenir.
Assez rapidement ce premier soir, je m'interroge sur ma présence dans leur maison, passant plus de temps à faire le pitre avec ses filles qu'à discuter avec lui ou sa femme (résolument cachée dans leur chambre et alternant le port du voile en ma présence).
Prétextant un trajet épuisant et une nuit écourtée dans le désert, je prends congé assez rapidement, profite de ce temps mort pour rattraper le retard cumulé du blog, respirer la sérénité de la solitude et... dormir.
21/04 – Ce rêve bleuuuuuuu..
Suis toujours pas au Vietnam, il a fait très chaud toute la nuit, mes intestins souffrent des épices, je m'accoutume au jet d'eau qui remplace le PQ dans les toilettes en Inde (surprise : tu as les fesses mouillées après...) et l'intérieur, le moins sale, de mon t-shirt fait office de serviette après la douche, Ramni n'en a pas à me prêter. 9 am : "Blam blam !!". La veille, mon hôte m'avait fait comprendre que l'idéal serait de visiter la cité aujourd'hui pour prendre le bus de 10 pm vers Udaipur (ok, je reste donc une nuit)... En revanche, à l'aune du vaste programme, nécessité de démarrer tôt. Vu que je n'ai pas encore émergé, il vient fracasser la porte... Ok, j'arrive.
Direction la clock tower, où il me présente le petit déj encensé par le Lonely Planet : Garib, le roi de l'omelette. C'est vrai que celle au Masala est divine. Il est amusant de constater combien la référence "Lonely" ou "Guide du Routard" est commercialement affichée (plusieurs centaines de mètres avant), interpellant sur la faisabilité de l'indépendance et l'objectivité des enquêteurs... Puis Ram part à ses activités, me laissant un portable et ayant fermement "proposé" le programme de la journée : fort, temple, marché. Enfin peinard et avec plaisir, je me perds dans la cité bleue, nom officiel de Jodhpur (2,3 millions d'habitants, pas un Hlm), célèbre pour ses peintures murales à l'indigo contre la chaleur.
Pas de doute possible, on se croirait en Grèce.Écoutant les conseils de quelques gamins, je prend un chemin ascendant vers le fort, au gré de ruelles étroites, polluées, et paisiblement squattées par des vaches. Plus loin, des chiens agressifs donnent de la voix tout en me montrant la voie vers le fort. Dominant la ville, parfois survolé par un aigle, le chemin non-officiel et isolé que je poursuis, en contrebas du fort, devient inquiétant : de plus en plus nombreux, les chiens énervés s'approchent très près de moi, aboyant plus furieusement qu'une caravane qui passe...
Problème : si auparavant, je les dédaignai, maintenant le doute du "good way ?" m'envahit, voire la peur (quand l'un d'eux surgit de nulle part, hurlant à 50 cm de ma tête...) et ils le sentent. Ballot de finir bouffé par des chiens sauvages en Inde à une semaine de rentrer au pays...
Ouf, 200 m de solitude pas drôle s'écoulent et apparait l'entrée du fort.
Vu que je palabre pas mal, je vous épargne, l'histoire surinée par l'audio guide et privilégie l'image.
Beau, spacieux, légendaire, ce fort incarne à lui seul la puissance de la province de Jodhpur, son passé en résume la fierté.
Tout d'abord, veillant la ville, de massifs canons, peuvent tirer à des centaines de milliers de km (au bas mot). Ensuite, la porte cloutée, située dans un angle, empêche une attaque des éléphants. L'unique défense défoncée est donc celle du pachyderme, le fort reste un bastion imprenable.Puis, à l'intérieur de l'enceinte stratégique, l'aspect protecteur disparait au profit de superbes bâtiments sculptés, plus travaillés et conformes à l'exigence esthétique des Maharana (Dans la région de Jodhpur, on ne dit pas Maharaja)... Les pièces se succèdent avec bonheur et beauté, enrichies au fil des années par l'apport des cultures mongoles et britanniques. Quelques anecdotes :
Couillus à la démesure, les fiers guerriers de la région ont refusé de s'équiper d'armes à feu pendant des décennies (pas assez viriles à leur goût, ces méthodes de combat étaient signes de lâcheté), avant d'être décimés lors d'une bataille mémorable en quelques minutes, ce qui impulsa la "modernité" de l'armement... Autre histoire, le palanquin en osier utilisé par la Maharani en Grande Bretagne. Dissimulée derrière les jaris, la princesse a déclenché la curiosité de la population britannique. Résultat, lorsqu'un photographe réussit à prendre son pied (si j'ose dire), le cliché de cette partie de l'énigmatique Maharani est publié par la presse à l'affût... et l'ensemble de la famille s'empresse d'acheter toute l'édition afin d'éviter le déshonneur et sa colère !
Stupidement, j'ai épuisé la batterie de ma camera en ville. En arrivant au sommet du fort, je n'ai plus une once d'énergie. De fait, je ne trouve pas l'utilité de me rendre au White Temple voisin, source de frustrations probables. En me rapatriant vers le centre, j'effectue la pause internet nécessaire, y trouve sans cam, MSN et boucle mes petites affaires.
Coup de fil de Ramnivas vers 3 pm, je lui explique bosser sur la toile et propose de le rappeler. A priori, il viendrait me chercher vers 5 pm.
Ayant un peu de temps, je me promène sur la place du marché, à proximité de la Clock Tower, appréciant le plaisir rare de retrouver un endroit déjà visité, j'y étais ce matin pour l'omelette.Décor riche en couleurs, odeurs, bruits, l'endroit est animé, l'envers aussi. Détendu, j'arpente les commerces et négocie le moindre achat. Jodhpur est réputée pour ses bijoux. Tant mieux, je ne me suis rien acheté depuis un moment...
Accroupie au cœur du marasme humain, une mendiante d'une douzaine d'années, au teint très mate, vient troubler de ses grands yeux noirs (contrastant avec le fond blanc de l'œil), ma quiétude de trader. Silencieuse et belle, elle tend son obole... L'habitude de l'évitement, la puissance et la fierté de son regard provoquent un écart dans ma trajectoire. Puis, après quelques pas, je reviens en arrière lui glisser 50 rps au milieu de ses pièces. Elle me regarde brièvement sans mot ni sourire et s'empresse de dissimuler le billet sous ses frusques...
Comme un couillon, je reste m'interroger sur ce que j'attendais en retour. Difficile et inutile de jauger cette réaction animale, je n'ai aucune idée réelle de la conception de la misère en Inde.Plus loin, un vendeur d'épices souriant, et à l'Anglais distinct, me stoppe, cherchant dans un premier temps à causer, puis à fourguer les étoffes de son pote. Normal, mais agréablement amené, sans pression aucune. Entre SORRI et tchatche, le prix final est hallucinant et réellement dû à la fin de saison... 300 rps les 2, soit 4 euros !
Ensuite, il me négocie l'achat d'épices. En dépit de mes indéniables envies de maître-queux (aucune allusion sexuelle), j'imagine que mon sac à dos bondé va hurler de douleur dans la chambrée.
Après ces échanges verbaux et commerciaux, cet intelligent négociateur m'offre le thé masala (le "chaï). Bref regard sur le portable... Caaaalice ! Ramnivas a appelé 3 fois. Je le call.
Très occupé, il est surpris que je n'ai pas visité le White temple, et m'explique que je dois y aller, avec ou sans camera. Heu, t'es pas mon père, mon gars, ça suffit maintenant... Je lui réponds tranquillement par la négative. Mon intention étant de passer chez lui recharger ma batterie et, ensuite, de me rendre sur les dernier sites touristiques de la ville en taxi.
Il Oktte et raccroche au moment où je lui demande ce que je dois faire maintenant. Incertain, je poireaute 30 mn sans savoir s'il va venir puis me décide à rentrer en rickshaw, charge la batterie et repars, négociant avec un driver le prix du parcours.
A nouveau, un "city palace" s'offre à ma vue mais trop tard pour la visite. Avant que le soleil ne tire sa révérence, je propose aux 2 frères dragueurs (le driver du rickshaw musical a embarqué son brother en cours de route) de nous rendre au White Temple pour boucler le circuit à MON rythme.. A quelques centaines de mètres du fort, au milieu d'enfants qui jouent avec des bergers allemands, un inconnu insiste pour que je le photographie et me laisse son adresse en Indien sur le micro carnet de secours proposé par Kaustuhb en remplacement du mien. Espérance de vie limitée pour ce carnet incompatible avec ma poche ventrale, je l'ai perdu dans le bus cette nuit, il manquait d'âme...
Enfin, retour à la maison à 7.45 pm, où je joue avec les gamines - la grande se montre aussi bougeante et indépendante que la petite est calme et gentille (me ramenant à chaque fois les peluches et la casquette jetées par sa soeur), puis tape la discute (bien qu'il ne speaks pas English) avec le père de Ramnivas, toujours pas rentré.
Ancien brodeur sur toile, ce gentil monsieur m'initie au port du turban (outil vestimentaire utile pour mesurer l'appartenance à des castes) tout en me racontant l'histoire de ses oeuvres, exposées dans la pièce principale de la maison.
Arrivant à 9.20, mon CS prend enfin le temps de discuter, entouré de sa famille. Commercial, il me montre son livre d'or et me donne une carte de visite de sa future Guest House.
Finalement, au moment où je sors le CC, objet de fascination récurrent chez les Indiens, puis à la vision de la bande-annonce de Junglelove, Ramnivas s'intéresse vraiment à ma petite personne. Mais l'heure avance, je salue ce petit monde et file vers le bus et sa place assise-mais-pas-tout-le-temps.
Mine de rien, cette rencontre aura énormément "humanisé" ma visite de l'Inde. Vivre le quotidien d'une famille traditionnelle n'a rien à voir avec les parcours touristiques. Par ailleurs, bien que la description des évènements soit sincère, j'ai réellement apprécié Ramnivas, nous n'avons simplement pas les mêmes repères culturels sur l'hospitalité et, de toutes façons, le couchsufing nécessite pragmatisme et zénitude... Caaalice, ce que ça secoue dans le bus. Vivement Udaipur...

7 commentaires:

Mamanpapounet a dit…

Toujours superbe mais un tantinet inquiétant quand même !! J'ai hâte que tu sois dans l'avion. Tu te rappelles comment sont les Bretons quand même? pas de turbans, pas de tandems, un code de la route , la plupart du temps, l'hopitalité en français, des places assises dans le train, tout quoi. Enfin de quoi de faciliter le retour à "notre" mode de vie. A dans trois jours, courage ( à prendre dans le sens que tu veux !! ) Bisous, Maman

Lena a dit…

Comme un bon livre, nous voyons bien que la masse de page qu'il reste à dévorer, après s'être amenuiser progressivement, est soudain plus que légère... Mais ton TDM a su garder son âme, celle qui faisait son intérêt, malgré l'amour et le confort ;) ...
OUi papa, tu nous auras passionnés. Merci beaucoup.
A tres bientôt ! (Le 28, 18h15, c'est noté !)

kalamity2a a dit…

S à T Ô M I D'I J
C'est presque la fin d'un beau parcours et l'Inde semble riche en émotions.
T'as l'air d'un vrai Maharadja ainsi enturbanné!
Bientôt de retour au bercail !
Partir, c'est bien, mais revenir...
c'est bien itou.
Big Bizzoux d'Ajaccio

Maryse S. a dit…

Etonnant quand même comme le temps passe vite. 4 mois déjà...je suis certaine que tu ne les a pas vu passer et qu'en même temps tes premiers pas aux U.S.A te semblent lointains. Bon maintenant il va falloir repenser: civilisation, famille, amis, boulot, le train-train quotidien quoi! mais heureusement que ta tête est pleine de merveilleux souvenirs et que ton coeur, lui, bat pour la belle Marion... qu'il nous tarde de connaître. Bonne fin de voyage. Profite bien de ces dernières heures et n'oublie pas d'échanger ton turban et ton short contre une cagoule et une polaire car ici rien n'a changé !!!!

Gros bisous

Maryse.

jeumeuleu a dit…

Votre voyage s'achève alors, Mr le Président, c'est l'heure du bilan?...
Mickael Kael

long ps: t'arrive le 29 à Brest et le lendemain c'est l'anniversaire de Lolo alors, en bon frère, j'espère que tu as prévu un cadeau, sinon tu peux acheter sur place et essayer de marchander avec les commerçants bretons (pas sûr que la méthode SORRI fonctionne...)tu peux m'associer au cadeau, je t'enverrai quelques roupies belges!!

La Famille Kerkiki a dit…

Euh... il rentre quand à brest même le spondilatriteux bondissant enturbané ? histoire de venir biser le Chétif Computer Malade ? et à l'occaz féliciter son proprio pour son TDM (C)

Quel site va t'on se mettre sous la dent après Mémel & son Vendée Globe et Titi sans son chien ?

d'ici quelques jours je vais être Orphelin du web... Snifff
Noooooon Thierry laisse tomber la Corse et continue ton TDM (c), Please...

Anonyme a dit…

Crotte plus qu'une journée et c'est fini ça va être dur de plus aller faire un TDM sur ton site.
En conclusion de ta dernière publication en fait il n'y a que les enfants qui parlent un langage universel celui du jeu et des sourires.

Bises et à bientôt peut être dans la cité des Ducs.